… En raison des attaques réitérées tant au Forum des agents ONE qu’ailleurs, par lesquelles les rivaux et ennemis de la démocratie et de la pluralité syndicale, prononcent derrière les cagoules de pusillanimité, des injures et des calomnies à mon encontre et plus particulièrement à l’encontre du SDE/FDT, par lesquelles, ils tentent de duper l’opinion publique pour rendre ainsi malfamée notre identité et notre crédibilité aux yeux de ceux et de celles qui nous méconnaissent. Mais, heureusement que l’histoire qui est fidèle et ne pardonne pas est là, et que de ce fait, la pure vérité ne pourra en aucun cas être travestie et le beau soleil qui éclaire ne pourra non plus être point caché par un tamis . Toutefois et bien que j’aie la ferme conviction qu’il serait inopérant d’entrer en polémique gratuite avec des fantômes masqués sous le linceul de la transe pour poignarder du dos sous l’effet pesant de la haine, j’ai jugé utile de sortir de mes gonds pour la bonne logique en rendant publique à ton ferme et à propos châtiés, cet aperçu historique pour tenter de répondre aux reproches venimeuses et harcelantes qui reviennent sur les lèvres des visages méchants et à donner par voie de conséquence, une idée détaillée sur la naissance du SDE/FDT à l’aide de cet essai qui n’est d’ailleurs autre qu’un extrait légèrement modifié de quelques passages de mon modeste projet de livre intitulé « Histoire de ma vie syndicale », qui tentera de dévoiler une amère réalité par essorage dans la rue, du sale linge du foyer des électriciens. A ce propos, je souligne de prime abord qu’en 1979, nous étions environ soixante seize jeunes agents affiliés à la fleur de notre vie et aux premiers pas de notre vie active à la Centrale thermique de Kénitra, à la CDT qui était à l’époque à son apogée. Mais, comme nous n’étions pas encore titulaires et que nous étions attaqués sauvagement de tous les côtés par les serviteurs des Seigneurs éternels de la FNEFM qui s’est transformée par la suite en FNTE actuelle, et par leurs alliés ennemis de la démocratie et de la pluralité syndicale qui jetaient dans notre chemin des clous d’acier et des bottes de ferraille pour alourdir nos pas et entraver notre marche, ce n’est alors que le besoin en effectif du Personnel qualifié qui se posait à l’époque avec acuité, qui nous avait bien éludé les fins de stage tant sollicitées par les rivaux aux visages avachis et balafrés de crimes qui souillent la chaire et l’honneur…. Devant tant d’injustes et tant d’atrocité perpétrée sous le regard de complicité de la Direction qui complote, qui incurve l’échine et qui s’agenouille comme il en est d’usage à l’heure actuelle devant les invocations des Géants aux pieds d’argile de la FNTE/UMT, nous étions dans l’obligation de regimber pour éviter le péril qui nous guettait et nous avions conclu à l’issue de plusieurs concertations, qu’il devenait inéluctable de se raviser et de regagner le camp adverse pour tenter de lutter de toutes nos forces de l’intérieur du foyer où nous étions d’ailleurs considérés d’emblée d’intrus loups revêtus de peau de mouton qui se sont introduits par malices dans le troupeau au point que le Berger imposé et ses fidèles molosses aux grandes oreilles pendantes et à queue toujours entre les pattes arrières en signe de respect du seigneur, n’avaient aucun autre choix pour nous renvoyer à la forêt, et ce, nonobstant le regret tangible de notre intrusion dans leur Zriba… Ainsi et après peu de temps de stabilité et de paie intérieure, j’étais élu en 1985, sous le drapeau de la FNTE avec laquelle j’avais et j’en ai toujours des accointances, membre du Bureau Syndical de la CTK qui n’avait d’ailleurs duré que trois mois pour démissionner collectivement par telex en raison de la mésentente totale et de la divergence des visions enregistrées vis-à-vis de cette Fédération qui guettait d’ailleurs, un tel agissement pour se débarrasser de ceux qui n’empruntent pas sa ligne de conduite. Ensuite et après avoir regretté les conséquences de cette démission collective qui a donné l’occasion inopinée à la Fédération pour imposer à notre place ses serviteurs qui ont semé partout l’anarchie et la pagaille, des pétitions ont été dressées et envoyées pour embrasser la poubelle de la FNTE, et ce n’est alors, qu’à l’issue de la violente insurrection du Personnel qui en avait ras le bol, que ces derniers ont été destitués. C’est ainsi alors que j’avais réussi de nouveau, en raison de ma popularité et de ma crédibilité, à endosser au mois de Novembre 1991, la sale et ingrate responsabilité de Secrétaire Général du bureau syndical de la Centrale thermique de Kénitra et que sans détours ni atermoie aucun, j’avais prêté indéniablement main forte à mon collègue ZEROUAL qui était à l’époque Secrétaire Général du bureau syndical de la CTM où son étoile a bien brillé et qui m’avait malheureusement laissé tomber en Décembre 1994 comme si je n’avais jamais été connu auparavant, lors de ma mutation à DTR/Fès intervenue et enveloppée sous l’étui factice du besoin préfabriqué de nécessité de service, que je ne pouvais pas contester sous peine de comparution devant le Conseil de discipline pour me congédier d’office conformément aux dispositions de l’article 34 du statut du Personnel à cause du refus de l’exécution de cette mutation qui œuvrait en réalité à me faire vider les étriers et à me destituer de la sorte de ma responsabilité syndicale lorsque les malfaiteurs de la mafia qui n’avaient pas réussi à me renverser par d’autres pratiques auxquelles ils avaient fait discrètement recours, étaient convaincus après plusieurs tentatives de l’achat de mon silence contre des propositions alléchantes et aguichantes soldées par l’échec qui est la résultante directe de mon refus catégorique de la vénalité et du port de la muselière que j’avais rejetées par ferme conviction et par attachement inconditionnel à demeurer le pur montagnard de chez moi, qui est profondément touché et frappé par les termes de l’adage stipulant que Dieu ne permet que l’achat des bêtes et que tout homme acheté en est une. De même, il est salutaire de signaler de passage qu’après huit mois d’exercice à Fès, j’étais muté à DTR à Afourer où j’ai vu ma note de fin d’année chuter d’un coup de 18 à 14 sans raison valable vu que je n’ai pas encouru de sanctions et que je n’ai pas observé de maladie, d’absence et retard, et où j’ai passé vingt deux mois sans exercer ma fonction dont j’étais injustement empêché à peu près comme il m’a été interdit de m’aligner au lieu du travail pendant la prière, derrière l’imam qui n’est d’ailleurs autre qu’un vieil agent qui m’avait demandé un jour sans vergogne de ne plus accomplir le devoir religieux avec Al Jamaâ, vu que cela rend les nerfs à fleur de pot au Chef du Centre qui a malmené et menacé pour cette raison ce chétif bonhomme de neige qui tremble par peur inédite de son ombre !!!! . Toutefois, il est à noter que bien que je sois originaire d’une région enclavée à la province d’Azilal, qui n’existe pas sur la carte géographique du pays et qui ne connaît point la civilisation calquée des pays d’outre-mer, et que malgré la marginalisation féroce par laquelle j’étais relégué à peu près comme on éloigne du troupeau la brebis galeuse, qui m’avait condamné au désoeuvrement et au chômage artificiel à un moment où même les prisonniers travaillent derrière les barreaux contre un salaire symbolique pour les faire participer à leur tour à l’expansion économique du pays, j’avais fait preuve de maturité, de probité et de ponctualité sans faille en matière de respect inutile des horaires de travail si j’ose dire du chômage artificiel auquel j’étais réduit et auquel M. BENHIMA avait mis fin à l’issue de l’audience qu’il m’avait accordée et qui m’avait permis de montrer mon vrai visage de philanthrope tout en prouvant avec des preuves à l’appui, que je n’étais qu’une simple victime du sérieux qui paie malheureusement très mal dans ce monde à l’envers, et que les fossoyeurs enthousiastes de notre avenir et de notre identité qui sont les vrais coupables et les auteurs des crimes abominables commis à l’égard de l’Office et du Personnel, sont à chercher dans notre société austère et rancunière… En partant de ces considérations, j’estime par naïveté qui m’accompagne au même titre que ma silhouette, que le Général ZEROUAL ne peut pas nier pour le moins à l’intérieur de lui-même, que je l’avais sauvé lorsqu’il était suspendu de sa fonction à la CTM à cause de son refus de donner l’ordre aux agents pour reprendre le travail en heures supplémentaires qu’ils avaient suspendues en pleine grande révision des groupes, à titre de manifestation de leur mécontentement sur l’insatisfaction de leurs modestes doléances qui se posaient avec acuité, par la Direction qui ne songe qu’à la thésaurisation et à l’engagement de la politique du fait accompli et de négligence qui attisent et exacerbent les tensions pour envenimer l’atmosphère sociale. Face à cette décision totalitaire de la Direction et malgré le refus de protestation par esprit de solidarité, manifesté par la majorité de mes collègues du bureau syndical à Kénitra, qui ont préféré l’attitude de sourde oreille, dont en particulier l’actuel BRIKA dont les deux tiers du visage sont couverts de poils du bouc qui cachent sa perfidie et sa haine, qui était dans le temps mon adjoint et qui est à nos jours le conseiller et le bras droit de Ckeihk Zaouiat AL COS, j’avais pris en concertation étroite avec Monsieur ATTIOUI qui est actuellement le Secrétaire Général du Bureau Syndical de la CTM et avec feu Hammou de la CTJ, l’initiative inéluctable pour le déclenchement d’une grève qui a été observée par les trois centrales en entravant sérieusement la production au point qu’elle risquait de porter préjudice au réseau en cas de prolongement au delà de la journée. Cet exploit avait incontestablement obligé la Direction à revenir sur la suspension de notre rondier et le Directeur de la DPT avait ordonné à son chauffeur personnel d’aller au domicile de ZEROUAL pour le ramener à la CTM où il était accueilli par de forts applaudissements accompagnés des larmes de joie, des brouhahas, des cris et des youyous qui allaient briser le ciel . Cette même attitude était égalent vécue à la CTK et à la CTJ au moment de la promulgation de l’information de la réintégration immédiate et inconditionnelle de ZEROUAL, par laquelle nous avions fait de lui par cet exploit réalisé dans les règles de l’art, un héro bien gonflé et un leader cartonné sans précédent. De même, j’estime que le Général ne peut pour autant nier que j’avais constitué la pierre d’achoppement par ma ferme opposition avec bravoure à la décision arbitraire et totalitaire de Abderrazzak, par laquelle il avait donné des ordres aux fidèles serviteurs de son entourage pour procéder au prompt limogeage de tous les délégués qui avaient démissionné des listes électorales et qui avaient boycotté les élections de 1992, dont ZEROUAL était le chef d’orchestre. Il avait tout de même ordonné de les inscrire sur la liste noire pour ne jamais endosser de responsabilité syndicale au sein de la FNTE!. Sur le champ, cette décision qui émane d’un pouvoir autiste qui n’est pas à l’écoute des militants et qui s’enfonce dans l’incivisme des opportunistes, était concrétisée aux barrages et à Roches Noires et que seules les centrales thermiques de Jerada et de Mohammedia qui n’étaient pas ainsi touchées. Dans ce contexte, il n’est pas tout de même sans importance de souligner que j’avais renoué le dialogue rompu depuis ce boycott des élections entre Zeroual et feu Hammou de Jerada avec Abderrazak, et que depuis lors, les visions ont divergé entre celui qui s’attache fermement à rester fidèle aux principes du militantisme extrémiste dans la camp de l’opposition pour réclamer à tue-tête, une profonde réforme visant l’instauration de la démocratie et de la justice distributive, et celui qui tient aveuglément à modérer son langage et à revenir sur ses principes de primauté, d’équité et de lutte acharnée pour la concrétisation des visions arrêtées d’un commun accord dans le cadre de la coalition notoire tissée entre les trois centrales, visant à sortir du cadre routinier en faisant appel au militantisme absolu afin d’incarner l’espoir du Personnel qui traverse une période cruciale et difficile. C’est ainsi alors que le Général ZEROUAL avait changé de veste pour escalader par égoïsme les marches hiérarchiques de l’escalier syndical. Ainsi et comme il va de soi, cette attitude qui s’ajoute à son feu vert donné au Zaïm pour se débarrasser des indésirables qui dérangent, lui ont balayé le chemin et l’ont conduit rapidement au pinacle hiérarchique pour jouir à nos jours des mêmes pouvoirs dont était doté son prédécesseur Abderrazak, qu’il avait d’ailleurs, trop critiqué dans un proche passé en lui reprochant la dictature, la répression, les agressions, le manque de transparence, la mauvaise gestion du COS et de la CMCAS et l’opposition illégale par abus de pouvoir et par méchanceté aveugle à la pluralité syndicale. Mais voilà qu’au fil des jours, le merveilleux heureux hasard a bien voulu promouvoir notre ami de longue date au poste de Général qui lui a permis de s’asseoir par accident miraculeux sur le géant fauteuil en cuire légué par testament, qui est semble-t-il, le canal de sa contamination par les maux précités et par d’autres plus complexes qui sont injectés dans son corps au point qu’ils lui ont fait perdre le nord. A cette juste cause et après analyse logique de la situation, j’estime que je ne me trompe pas si je souligne en gras que notre Fkih a bien prouvé sur le tas à l’heure actuelle, son incompétence en matière de gestion et son incapacité de concrétiser sur le terrain, ses invocations promulguées quand il était hier au rang de l’opposition. De ce fait, j’estime par voie de conséquence, que notre Général doit se rendre compte de son tort pour les reproches faites dans le temps à Abderrazak. En partant de ces considérations, j’avoue en toute franchise et je jure en toute sincérité, que j’étais réjouis au moment de son accession au Trône de la FNTE qui l’a bien mis à l’épreuve, mais, je n’ai pas malheureusement tardé d’être déçu et emprisonné par l’étrange déception que me donna son incompétence, sa manière d’agir et sa complicité notoire qui sont irréfutablement loin d’être celles d’un parfait musulman, vu qu’elles n’œuvrent point pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des électriciens et notamment, pour la sauvegarde de leurs sacrés acquis qui sont soufflés de tous les côtés par les vents ignicoles du danger qui avivent sérieusement la flamme pour les incinérer … En peu de mots s’ils conviennent, je suis tout de même déçu par son blocage arbitraire à soixante dix milles dirhams pour une durée provisoire qui devient définitive, du montant du capital de fin de carrière sans donner de raison valable et sans justifier pour le moins les retenues exorbitantes qui s’y rattachent et qui vont sans cesse croissantes. Je suis également déçu par son mutisme vis-à-vis de la fusion périlleuses des deux Offices entamée à la va-vite et dont son organisation à représentativité massive comme prétendu à tambours battants, n’a point été consultée ni non plus informée au préalable !!. Je suis déçu par ses promesses inefficaces données de façon réitérée aux diplômés au cours de carrière, sans qu’à ce jour leur situation soit régularisée alors que le temps passe et par conséquent, leur avenir trépasse. Je suis tout de même déçu par son comportement qui tourne le dos au passage bien mérité des cadres issus de la promotion interne au collège hors classe et à leur nomination qui deviennent prohibées contrairement au passé, alors qu’elles ne sont à nos jours plausibles par sophisme de la FNTE, qu’aux pseudos Délégués de l’entourage de Lalla Laâroussa qui font exception, dont en particulier le Général et ses proches collaborateurs qui usurpent les foncions imméritées de Directeur, de Chef de Division et de Chef de Service !!!. Je suis déçu de son consentement irresponsable donné en sa qualité de locomotive qui immobilise une file énorme de wagons par la mise en usage de la modalité de l’avancement horizontal, qui tue l’évolution ascensionnelle de la promotion interne par le passage de collège en collège, qui devient interdit à un grand nombre d’agents qui sont pleins de zèle, qui font preuve d’esprit de sacrifice et de bonne volonté et qui se trouvent malheureusement obligés d’avancer en glissant sur le ventre le long de leur carrière dans un sentier rocailleux qui les égratigne en leur faisant beaucoup de mal. Je lui reproche sa fermeture des yeux sur les manières dilatoires qui font traîner davantage dans le bourbier du désespoir et de l’oubli, le dossier d’attribution et de cession des logements de fonction, dont l’appel à la candidature a été lancé et demeure en souffrance pour devenir pour le moins à nos jours anachronique. Je suis déçu par sa demande formulée avec acharnement auprès de la commission parlementaire pour la cession illégale et irréfléchie du patrimoine des agents ONE aux Régies dans le cadre de la fusion de l’ONE et de l’ONEP ???!!!. Je conteste son intervention en qualité de médiateur ou plutôt de courtier pour garantir auprès de Wafa Salaf, de pauvres agents du bas de l’échelle, qu’elle plume et ligote par de robustes cordes des crédits alloués à des taux élevés, qui sont sollicités pour faire face à des gênes financières qui auraient pu être palliées par des emprunts à consentir sans intérêts par Zaouiat Al COS. Je suis déçu par son charitable gaspillage des deniers et des finances publiques pour l’organisation des soirées folkloriques dansantes qui salissent sa barbe et pour sa distribution gratuite aux ivrognes et aux vénaux pour les maintenir dans son rang. Je lui reproche les dépenses abusives qui permettent à son entourage tellement nombreux, d’effectuer de façon exagérée et réitérée aux frais du COS, les voyages touristiques d’Al Omra pour tenter d’éponger les péchés pour lesquels la masse écrasée sous le fardeau de la trahison et de la haine, ne concédera jamais son excuse!!!. Je suis tout de même déçu par la dégradation manifeste de l’état des centres d’estivage si j’ose dire d’esclavage et notamment par le clientélisme manifeste enregistré dans les attributions des séjours en vacances. Je conteste tout de même, l’exploitation outrancière et à but lucratif de ces centres de vacances qui sont occupés en majorité écrasante des cas par les étrangers et dont les recettes des redevances qui s’y rattachent échappent à une saine et sérieuse comptabilité…Je suis déçu par son engagement aveugle dans la voie répressive empruntée par ses prédécesseurs, sans jamais songer à promouvoir le débat, à encourager la transparence et à dresser un bilan des biens immobiliers, des recettes et des dépenses du COS et de la CMCAS pour information des agents muselés et tenus malheureusement pour moutons de Panurge. Je lui reproche sa demande mesquine formulée dans son communiqué non signé du 14-09-2010 qui est une mixture des points concrétisés et revendiqués, émis sous le poids pesant des élections du COS et de la CMSS, par lequel, il a confirmé sa demande à la Direction pour activer la Commission Supérieure du Personnel, tout en ignorant par stupidité, que le droit s’extorque et ne s’offre jamais, et qu’il lui incombe de ce fait, de mobiliser ses troupes massives et de faire appel à l’usage de ses armes sophistiquées qu’il a laissées de côté pour imposer l’activation de cette commission élue pour un rôle qui demeure inopérant. Je suis déçu par son défi lancé au Personnel et par sa passation outre au règlement et aux dispositions statutaires pour être nommé illégalement Président de la CMCAS qui est actuellement gérée illégitimement. Je lui reproche sa complicité dans l’exécution contre vent et marrées, du plan orchestré par KARIM qui est le Moufti périlleux de la Fédération, pour forcer par détours au départ prématuré à la retraite, M. HAJMI qui est son collaborateur au Conseil d’Administration de la Mutuelle, et par voie de conséquence, pour la destitution en dehors de la loi et par intérêt tangible, de son collaborateur MISSIOUI du poste de Président de la CMSS. Je suis déçu de son ingratitude et de sa complicité dans le limogeage et l’écartement sauvage de feu Abderrazak, qui mérite en dépit de tout, un apéritif historique de taille et une fin conforme à son âge avancé, et ce, à titre de reconnaissance pour les services loyaux rendus et pour les avantages en nature concrétisés et dont jouissent les électriciens, dont en particulier, à titre d’exemple concret, l’exonération de cette ruche humaine des électriciens, des retenues des impôts de leur pension dont un grand nombre parmi nous ignore pourquoi les électriciens font exception et se distinguent de leurs homologues des autres organismes tant étatiques que privés ???. A ce point précis, il est à noter par souci d’éclairer l’opinion publique, que c’est grâce au défunt qui avait la main large et qui avait demandé et obtenu depuis belle lurette, l’accord des Finances pour que les électriciens paient par anticipation les impôts de la retraite tout en étant en activité afin qu’ils en soient exonérés à leur départ. Je suis tout de même enragé par son invocation qui consiste à l’évacuation des cadres à Kénitra des villas de Val Fleury qu’ils occupaient et qui devaient normalement leur être cédées, sous prétexte que l’Imam envisage sur proposition alléchante de son Mamoun qui n’est autre que le fidèle et préféré architecte des maux de toute nature, d’y réaliser un club sportif qui n’aura de sport que le nom et qui ne répondra nullement aux normes requises d’un club en bonne et due forme, et ce, en raison de l’exéguïté du terrain et de son implantation au giron des constructions. Je lui reproche la trahison monumentale du Personnel auquel il avait avancé un faux argument pour faire réussir la grève du 26-04-20O5, qui demeure crédulement aux yeux des acteurs dupés, un événement historique qui revient d’ailleurs à tous les temps sur les lèvres des Généraux qui trouvent toujours la volupté d’en parler aux crédules avec grande fierté. A ce propos, je tiens à promulguer que cette grève était une erreur grossière, car le Personnel était trompé par les Géants de la FNTE qui avaient annoncé pour argument qui justifie le déclenchement de la grève nationale «l’atteinte aux acquis en matière de retraite» qui touche bien entendu toutes les couches afin de les motiver et de les mobiliser pour réaliser un exploit au niveau de toutes les entités. En raison de l’ampleur de cette erreur et par souci d’éclaircir les choses, il y a lieu de préciser que l’amère réalité qui était à l’origine de cette grève, repose en premier lieu sur le refus catégorique de la Direction Générale d’octroyer au Général du COS, une avance sollicitée sur la subvention de l’exercice qui suit et lui a exigé de justifier d’abord l’engagement de celle allouée au titre de l’exercice précédent. Le deuxième motif réel, c’est que la Direction avait tout de même refusé de recevoir aux réunions TOURKZI en sa qualité de Secrétaire Général de la FNTE, sous prétexte qu’il est retraité et qu’il n’a pas ainsi le droit à siéger. A ce propos et en vue de forcer la main à la Direction Générale pour revenir sur sa décision, la grève a été déclenchée sous le motif artificiel d’atteinte grave à la retraite !!!???. Le malheur c’est que l’appel à été exécuté massivement par les agents et que le travail a été repris sans préavis quelques heures après sans aucune garantie, si l’on exclue bien entendu, la lettre envoyée dans ce cadre de façon individuelle par M. NAKOUCH à tous les agents. La preuve incontestable de cette affirmation, c’est qu’à nos jours, cette retraite qui est une page tournée dans l’histoire de l’oubli, est toujours menacée et périclitée de façon accentuée et que ceux qui ont bénéficié ad rem de la subvention en question, ne s’en soucient guère et n’en parlent plus d’elle à notre heure. A ce propos, ne dit-on pas autrefois que les paroles s’envolent et que les hommes s’en vont… En quintessence, voila donc comment le Général et le parfait musulman ZEROUAL a bien donné au Personnel à titre de récompense et de reconnaissance pour sa fidélité, sa naïveté et son exécution des ordres sans la moindre réclamation, un cadeau semblable à celui que donne le bœuf à la prairie après y avoir apaisé sa faim…
Pour enchaîner dans le même contexte, je tiens à rappeler à titre de rafraîchissement de mémoire, qu’à l’issue de la grève précitée et en raison des tromperies irresponsables signalées, SDE/FDT qui est ramené à l’aoûtage par les eaux pluviales des mauvaises intempéries qui ont résulté de la flagrante contradiction des conditions atmosphériques de la Directoion, a vu le jour le 15-05-2005 au siège de FDT à Rabat et demeure depuis lors bien collée à l’intérieur de la gorge de la FNTE, malgré la fermeture des robinets de l’eau douce par la Direction qui refuse à tort son alimentation pour tenter ainsi de la dessécher et de la faire tomber. En effet, il est à noter qu’à l’issue de cette grève spectaculaire montée de toutes pièces au théâtre de la FNTE, la Direction avait jugé nécessaire d’ouvrir la porte devant un autre syndicat rival pour mettre fin au monopole manifeste de la FNTE/UMT et avait engagé pour cette mission comme cheval de bataille, le Général MACHAAL qui est notoirement un lauréat chevronné issu de la vieille école FNTE/UMT, qui est spécialisée en matière d’asservissement, d’agression, du terrorisme, de criminalité, du népotisme et de la haine. Ce dernier qui était traité par les hypocrites sous la bannière de la FNTE de Si Lhaj et de Bba Lhaj et qui avait obtenu l’aval préalable de la Direction pour agir dans ce sens, contactait les mécontents et les indésirables de la FNTE pour les inviter instamment à la création d’un autre syndicat pour se débarrasser des calomnies et des attaques perpétuelles de la FNTE. A ce propos, nous nous étions concertés en nombre restreint à Kénitra et nous avions eu la ferme conviction que la Direction voulait de la sorte donner naissance à un syndicat d’extinction pour s’en servir de lui en cas de besoin pour éteindre éventuellement les incendies indésirables. Après de mûres réflexions, nous avions eu la ferme conviction que dans un monde à l’envers tel que le nôtre, où les règles de base de l’éthique, de la démocratie et de la probité ne se vivent pas au quotidien, la pluralité syndicale qui est à nos yeux tout à fait semblable à la polygamie, n’œuvre que dans des cas très rares pour l’intérêt du foyer. Mais à votre avis, que doit faire l’individu contre lequel le destin s’est acharné et qui s’est marié par guignon à une poupée de marbre affamée des actes de tromperie et d’adultère ??. Incontestablement, tout être humain qui demeure fidèle à ses principes et qui tient fermement à avoir la tête sur les épaules si j’ose dire haute dans les étoiles à l’instar du coq au corps pourtant miniscule, ne manquera pas de divorcer et de convoler en quête de dignité et d’honnêteté par la fondation d’un foyer saint. De fil en aiguille, nous avions jugé utile de prononcer à trois fois d’un seul coup, le divorce définitif de la FNTE et de créer un autre syndicat tant que les portes du ciel sont largement ouvertes devant lui par miracle et par raccroc hasard. Ainsi, nous étions conscients que nous allons irréfutablement salir notre identité en mettant nos mains dans celle de ce cheval de bataille, mais, nous l’avions en toute sincérité considéré comme une clé enduite de matière puante qui est indispensable pour l’ouverture de la porte d’acier qui demeure fermée à tort devant la pluralité syndicale depuis plus d’un demi siècle . Subséquemment et après un raisonnement logique, nous avions jugé utile de saisir l’occasion à tout prix pour tenir tente à part et de se laver par la suite les mains par l’écartement de cet intrus cheval de bataille qui sera d’ailleurs à notre portée. Effectivement et comme il est de notoriété publique, nous l’avions balancé par des élections démocratiques au deuxième congrès organisé en 2006, qui m’avait élu au poste de Secrétaire Général et nous avions tracé sur le champ nos perspectives d’avenir dans le cadre d’une vision claire et dynamique tout en montrant notre vrai visage visant le respect scrupuleux du militantisme absolu et des règles saines du syndicat au sens propre du terme. Mais bien que le Bureau National du SDE/FDT soit reçu au mandat de MACHAAL à deux reprises par M. NAKKOUCH et ensuite par M. MAAMAR, il y a lieu de noter amèrement que depuis le second congrès jusqu’à nos jours, où notre collègue ROUGUI détient le flambeau depuis le troisième congrès organisé en 2008, les Directeurs Généraux qui se sont succédés, ferment par abus d’autorité les portes du dialogue devant le SDE/FDT à un moment où ils les laissent par acception béantes devant la FNTE/UMT . Par raisonnement logique et sans entrer entre les interlignes, j’estime que cette acception et cette relation semblable à celle de Roméo et Juliette, qui est manifestée ouvertement par la Direction, explique beaucoup de choses et dévoile plusieurs mystères…
En fin et pour clôturer, je reproche au Général ZEROUAL son raisonnement intégriste qui ne tolère pas la nuance, qui rejette la différence et qui refuse la diversité des opinions qui est pourtant une source de richesse. Je lui reproche également sa contestation de la pluralité syndicale admise conformément aux termes de la constitution, et ce, à un moment où il s’est permis d’accueillir par similitude à bras ouverts dans son foyer, la bigamie conformément aux dispositions de l’Islam. Dans le cadre de ce même volet, je conteste son aveugle acharnement et son désir ardent de musarder et de faire recours aux pratiques révolues des années de plomb pour barrer la route au SDE/FDT, et ce, à un moment où il lui incombe de consacrer son énergie aux points chauds qui sont nombreux et brûlent de tous les côtés au lieu de s’harceler à focaliser inutilement les forces de ses troupes au combat de la rivalité syndicale qui est en réalité bénéfique et œuvre pour l’intérêt du Personnel en termes de compétitivité et de constitution, par la force de l’opposition, d’un rempart solide contre les abus et les dérapages. Je lui reproche dans ce contexte, l’agression sauvage de M . ROUGUI, perpétrée sous son aisselle le 05-05-2009 lors de la tentative de dépôt des listes de candidatures du SDE/FDT pour participation aux élections, et celle de SOUIAH Mohamed M’Barek et de son compagnon Mohamed Hammou Fadel perpétrée le 04-10-2010 au cœur du siège, sous le mutisme irresponsable de la Direction Générale qui a fait la sourde oreille et qui a fermé les yeux sur ces actes d’agression barbare commis par le « Polisario » de l’ONE, qui n’est autre que les milices de la FNTE qui ont porté de la sorte une atteinte odieuse à la dignité et à l’identité de ces agents du sud, d’une manière tout à fait semblable à celle pratiquée aux camps de la honte en terre d’Algérie par les ennemis de l’intégrité territoriale qui ont incarcéré et malmené leur collègue Mustapha Salma !!!!!!. Je lui reproche pour autant, sa récente délégation aux différentes localités dont notamment Jérada, Oujda, Midelt, Errachidia, Kénitra et Tétouan, d’une bande de guêpes étayée de l’appui intense de certaines marionnettes de Responsables (ya hasra), qui ont fait recours à des manœuvres ridicules pour menacer sauvagement, pour faire pression inédite et pour corrompre aisément à l’aide de l’argent du COS qui échappe à tout contrôle, de pauvres agents qui pataugent dans des gênes pécuniaires et des crises familiales, en les acculant à revenir sur leurs principes et à démissionner à l’encontre de leur libre choix d’appartenance, des listes électorales du SDE/FDT pour l’écarter ainsi de son chemin afin de continuer à assurer le monopole qui permet aux Généraux qui usurpent les sièges, de continuer librement à baigner dans l’ostentatoire de la bourgeoisie au détriment des intérêts légitimes de la masse écrasée et dupée sous le fardeau de la prévarication et de la trahison... A ce point précis, je tiens à rendre publique aux sages et aux âmes conscientes les questions suivantes et je les invite à leur trouver des réponses équitables et convaincantes :
* Pourquoi la FNTE accorde tant d’importance au barrage de la route à un jeune syndicat ou plutôt à une poignée comme l’appelle les Généraux qui siégent à la maison des « électrichiens » et qui réclament à cor et à cri d’écarter du jeu la carte du SDE/FDT ??. Est-ce pour les beaux yeux du Personnel ou plutôt pour éviter de la sorte, le rabat-joie qui dérangera et qui empêchera le partage et la dégustation du gâteau librement comme auparavant ???.
* Pourquoi ZEROUAL protestait autrefois contre les pratiques révolues et leur fait recours à nos jours sans la moindre honte en sa qualité d’Imam et de parfait musulman comme prétendu ???.
* Pourquoi la Direction n’a pas respecté l’échéancier de diffusion des listes électorales et des bureaux de vote et a usé de manières dilatoires pour permettre aux bouchers de la FNTE de parcourir les souks pour l’achat des moutons écornés qui lui sont absolument indispensables pour fêter la défaite conformément aux termes des lois de trahison et de tricherie ???
* Comment la FNTE est entrée en possession des listes électorales du SDE/FDT qui lui ont été remises via le canal de la Direction qui devait pour la bonne règle assurer la discrétion ???
* Pourquoi la Direction verse de l’argent fou aux agents de sécurité qui ne sont pas en mesure d’assurer l’ordre, la sécurité et la protection dans son siège ???
* Pourquoi la Direction ne s’est pas donnée la peine de vérifier le bien fondé des listes des candidatures de la FNTE/UMT, sur lesquelles figurent illégalement les noms de Hassan ADERDOUR et de Abdessamad EL ACHHAB qui ne figurent pas sur la liste arrêtée par la Direction qui détaille les noms et matricules des agents éligibles ???, qui sont étrangers à l’ONE et qui exercent à la Centrale thermique de Jorf Lasfar qui a été cédée dans un plateau d’or par les « amis requins » aux « Américains » à un moment où elle était prête à combler le besoin énergétique et à soulager le pays ???. En termes plus clairs, pourquoi la Direction qui est ainsi mise au pied du mur par la bonne foi qui ne mène qu’à la bonne voie, ferme les yeux sur cette infraction et ne ménage le moindre effort pour assumer pleinement et valablement son entière responsabilité qui consiste à considérer les listes électorales de la FNTE, nulles et non avenues conformément aux termes des articles n° 3 et 6 des règlements intérieurs des élections et aux dispositions du paragraphe 2-3 de la décision du DG n° 367/2010 du 15-09-2010, et ce bien entendu, au même titre que celles du SDE/FDT, ensevelies par la Direction dans le linceul du tort et inhumées en l’absence de la loi, par esprit de complicité, de prévarication et de corruption inouïes qui ont bafoué de la sorte, l’un des droits les plus élémentaires de la démocratie, qui demeure une condition sine qua non pour la survie des organisations, des organismes et des Etats ???.
* Pourquoi la Direction a refusé la réception de l’avis du recours à l’annulation des élections qui lui a été acheminé en mains propres par l’huissier de Justice le 26-10-2010, qui tient en même temps lieu de sa convocation pour assister au Tribunal à la séance qui s’y rattache du 28-10-2010 ???.
* Pourquoi le Général ZEROUAL qui a refusé également la réception de l’avis de recours à l’annulation qui lui a été acheminé au même jour et pour la même fin en sa qualité de Secrétaire Général de la FNTE, a trouvé le vif plaisir de mentir au huissier de Justice en lui précisant que la maison de l’électricien n’abrite pas le bureau du Secrétaire Général de la FNTE mais plutôt celui du Président du COS, alors qu’en réalité, c’est dans ce même bureau que le Général traite à longueur des journées les affaires de la FNTE qui sont palliées illégalement par tohu-bohu du point de vue pécuniaire par le biais de la caisse du COS ????.
* Sans entrer dans une analyse exhaustive de l’inflation qu’a connue à nos jours la fonction de Directeur, pourquoi le « Dit Recteur » de la Distribution au nord du Royaume, s’est permis par excès de zèle et par esprit de mentalité poussiéreuse, de s’agenouiller pour exécuter à la lettre l’ordre d’un bougre en faisant recours aux services d’une entité spécialisée pour priver discrètement et de façon enfantine, le Secrétaire Général du SDE/FDT de l’usage du système Outlook dont il a été doté, sans avoir le courage de l’informer et de justifier pour le moins son acte mesquin, décevant et irresponsable ??? . Pourquoi tout de même, l’Adjoint au Secrétaire Général du SDE/FDT qui exerce à Bureaux- villes, est doté par esprit de l’embargos recommandé aux alliés par ceux qui détiennent les clés du salut, d’un poste téléphonique qui ne permet pas la réception des appels externes à l’instar de ses homologues de l’entourage, et ce, à un moment où ces « Di-Recteurs » ferment les yeux sur l’usage des moyens logistiques de l’Office par ces derniers qui se permettent en outre, de pallier les divers frais quotidiens des activités syndicales par les moyens des caisses du COS, de CAS et de CMCAS qu’ils cassent …. ???
* Pourquoi le Personnel dont en particulier les intellectuels et les sages, avalent les couleuvres et ne ménagent le moindre effort pour tenter, comme recommandé par le prophète et incombé par le devoir, d’assumer consciemment leur responsabilité à l’égard d’eux-mêmes et des générations futures, d’absterger la plaie et de changer leur triste sort sans continuer à attendre crédulement et naïvement le levé du beau jour qui ne viendra jamais de lui-même et qui demeure caché par le gros nuage sombre de fusion et de confusion… ???
Dans l’attente que chacun s’efforce pour trouver des réponses adéquates et les mesures nécessaires à prendre de sa propre initiative pour barrer la route aux malfaiteurs et aux ennemis de la masse salariale, je tiens à fermer la parenthèse ouverte par nos rivaux qui nous vilipendent en leur annonçant à titre d’avant-coureur, que nous ferons par souci du devoir qui nous incombe vis-à-vis de la masse, appel aux Hautes Instances dont en particulier, la Cour Suprême des Comptes pour demander d’auditer le COS, la CAS, la CMCAS et la CMSS, dont la gestion fait tant de vacarme et de scandale, et de vérifier par voie de conséquence, dans le cadre de la transparence et notamment de l’opération « d’où as-tu cela », le bien fondé du bonheur apparent et de l’origine des biens des Géants aux pieds d’argile qui s’effondreront bientôt par une simple goûte d’eau potable, et ce, afin de faire éclater la pure vérité et d’arrêter éventuellement parmi nous, les mythomanes et les cleptomanes qui s’enrichissent illégalement au détriment des intérêts légitimes des pauvres agents qui pataugent dans le bourbier de l’oubli comme des canards dans la boue et qui grelottent en silence dans la froideur de la cellule de négligence et de marginalisation jamais connues auparavant . Croyez moi que cet agissement n’a jamais été de nos habitudes, mais, nous nous trouvons contraints d’agir de la sorte conformément aux termes du proverbe d’autrefois stipulant que le véritable auteur d’une guerre n’est pas celui qui la déclare mais plutôt celui qui la rend nécessaire …
En derechef et dans l’attente du coup d’envoi de la deuxième mi-temps du combat, je jure solennellement sur l’honneur, que mes déclarations précitées sont sincères et que je n’ai point menti, mais d’ailleurs, pourquoi mentir alors que pour n’être pas cru dans ce monde à l’envers, il suffit de dire la vérité…
Signé : Ali OUIHMAN
Kénitra qui naîtra, et qui naîtra mourra …